« Je l’avais perdue bien jeune ma Bretagne ! De par mon destin. Puis, Pierre Lebris, le fameux libraire brestois présenta un soir de 56 au Celtic, un de mes films… Le lendemain, Klein, journaliste au Télégramme de Brest m’embarqua pour Lesneven où j’étais né, pour tenter de connaître mes origines. Et nous découvrîmes mon parrain dont j’ignorais l’existence. J’avais retrouvé un morceau de mon passé. »
Au fil du temps il fait connaissance avec sa terre d’origine. Il se rend aux fêtes de Cornouailles, explore le pays Bigoudin. Les écrivains bretons l’invitent lors de leurs signatures. Il visite son ami Gilles Durieux qui est à l’origine de la bibliothèque qui porte son nom à Ploudaniel. Il se ressource sur la Côte des Légendes…
« Bretagne… lorsque j’entends le mot à la radio,
à la télévision ou ailleurs, mon âme s’éclaire et je me sens solidaire… »