Le Grand Voyageur

« Je ne peux pas vivre sans voyager. C’est un besoin profond, il faut que je m’en aille. Ça vient de mon enfance. Et c’est le propre de l’aventurier. »

Des bas-fonds urbains, il passe aux grands espaces. Son ami Robert Gaillard, auteur de livres d’aventures dans les trois Amériques, lui donne des recommandations et des contacts.

Dans les années 70, au carnet de notes qui l’accompagne toujours, il ajoute un magnétophone. Il recueille des confidences, des témoignages d’êtres d’exception.

« Les Bourlingueurs me prouvent la fécondité de votre talent et sa diversité. Vous faites vivre vos personnages en grand écrivain et grand reporter et vous avez eu raison de dédier votre livre à ceux qui comme vous, affrontent le bout du monde pour leurs lecteurs. »
Jean Prouvost 1885-1978, Patron de Presse.