Auguste le BretonAuguste le Breton
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par Auguste
Nord Amérique

1961 – New-York

1961 – New-York
par Auguste
Nord Amérique
1962 - Harlem, New-York

Sa rencontre chaleureuse avec le Champion de Boxe Sugar Ray Robinson, lui ouvre bien des portes :

« J’ai marché dans Harlem
Et j’ai vu les Noirs et leur misère
Et leurs rires et leurs larmes
Et leur force et leur cœur
Leur cœur mis à nu… » (extraits : Du vent…)

1961 - 148 West 124th street, New-York
Aujourd'hui - 148 West 124th street, New-York

À New-York il observe le quartier des Diamantaires. Il obtient l’autorisation de visiter ses sous-sols : les égouts.
Les univers carcéraux l’intéressent toujours : il est reçu par le directeur de la Prison des Tombes.
Il capte l’ambiante des boites de Broadway :

« dans la salle immense… tous les âges, toutes les races… videurs en smoking… téléphones où les jeunes prennent une prise de drogue… debout, 1000 personnes qui miment, scandent, hurlent les airs joués par l’orchestre de Tito Puente… »

En compagnie de marcel le coréen à new-york, 1961.

J’ai rejoint Marcel le Coréen en cavale de France. Il m’épaulera pour que je puisse me documenter et ramener « Du rififi à New-York ».

Juif oranais, pris dans la guerre des Zemmour, il sera abattu en octobre 1973 dans le 17ème en allant voir sa mère qu’il adorait.

L’ancien patron de la Brigade mondaine, Roger le Taillanter en fait mention dans son livre remarquablement documenté :
« Les derniers seigneurs de la pègre » (Julliard).

« DU RIFIFI A NEW-YORK »
Réédition 2002 – Editions du Rocher
Résumé – A. le Breton

« -Ouf ! murmura l’oranais. Ça ne va pas être du sucre, hein ? »
Une lueur d’orgueil passa dans l’œil de Steve Ryan.
« -C’est bien pour ça que j’ai monté cette affaire. Parce qu’elle est duraille. Et que personne n’a jamais eu l’estomac de s’y attaquer. Moi, si. »
Il rectifia devant le visage soudain assombri de Bob qu’il fallait ménager.
« -Nous, si. »

Je suis un vagabond…

J’ai grandi dans l’ordure et je ne pense pas qu’on puisse descendre plus bas.
Mais j’aime les grands espaces, la propreté, sous toutes ses formes.
….
Je ne peux pas inventer mes héros, c’est de la chair et du sang.
Ils existent. Ils prennent des coups.
Ils souffrent.
Et pour décrire des gens, il faut que je les pige.
Auguste le Breton

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Au 21ème siècle, se retrouver devant l’œuvre de quelqu’un, qui plus est, celle de mon père, que faire ?
L’explorer et découvrir, en lisant ses textes écrits au 20ème siècle : des univers, des pans de l’histoire de certains peuples, des témoignages et des échos à certaines problématiques d’aujourd’hui.
Merci papa, d’avoir osé et transmis.

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